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LES INQUIETS ET LES BRUTES / Scénographie et costumes

 

De Nis Momme Stockmann

Mise en scène Olivier Martinaud, compagnie Garçon pressé

Avec Laurent Sauvage et Daniel Delabesse

Lumières Eric Wurtz

Son Grégoire Durrande

Effet spéciaux Ariane Morgenstern

 

Photographie © Shehan Hanwellage

 

 « Dans Les Inquiets et les brutes, une « pièce de chambre », le père est un cadavre retrouvé dans son fauteuil par ses deux fils, Eirik (Daniel Delabesse) et Berg (Laurent Sauvage). Deux frères que tout oppose et qui ne semblent avoir aucun égard l’un pour l'autre. Ils se retrouvent, livrés à eux-mêmes face au corps du père. Dans son obsession maniaque de vouloir tout contrôler, le premier souci d'Eirik, l'aîné, est de savoir ce que pourraient penser d’éventuels visiteurs. Il décide alors de prendre les choses en main, reprochant à son frère Berg de devoir toujours décider pour eux. Ce dernier, hanté par la peur, se réfugie dans un discours général et moralisant sur la mort. Préférant les paroles aux actes, il est indigné par le fait que notre société refoule l'âge et la mort à un tel point que personne n'est préparé le jour venu, lorsque la mort survient. Les deux frères sont démunis face au cadavre du père, face au chat qui les agace par sa présence indifférente, face aux sacs poubelle dispersés, à la puanteur de l'appartement jonché de détritus et d’excréments. Avec des sentiments mêlés d'insensibilité, de brutalité et de désolation, ils nettoient les lieux et décrassent le corps souillé du défunt. Débute alors un voyage au cœur des ténèbres, au cours duquel les deux hommes se disputent, se provoquent, se réconcilient, font leur deuil, se frappent, s'humilient et se confient mutuellement leurs peurs, leurs cauchemars et leurs traumatismes. »

Extrait du dossier de presse.

 

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